Jan Peňáz, kněz v poutním místě Křtiny, nám krátce po oslavách 14. července na Francouzském velvyslanectví v Praze poslal tento e-mail:
Après la réception à l’ambassade de France à Prague, où j’étais invité grâce l’Institut français de Prague je suis allé à l’église Notre-Dame-des-Victoires – pas loin de l’ambassade – où est vénéré l’Enfant Jésus de Prague, et j’ai célébré la sainte messe pour la France et l’Europe entière. C’était le signe de ma reconnaissance à la France pour la réception et surtout pour la bourse que j’avais (nous avions) obtenu dans ma jeunesse. En signe de solidarité j’essaie maintenant de soutenir les jeunes Tchèques des milieux moins aisés, pour qu’ils puissent. Comme a dit le ministre des Affaires étrangères du gouvernement tchèque au début de la réception, les mots du 14 juillet 1789 sont toujours valables mais il faut les lire d’une façon rénovée. La fraternité veut dire aujourd’hui la solidarité. L’égalité exige la justice et la liberté doit vraiment laisser aux gens le libre choix sans force quiconque.